finances - la guerre une entreprise rentable

La guerre est une entreprise extremement rentable. La réserve fédérale controle tout ce qui touche l’argent. L’argent est présent partout, et tout le monde en veut. quand vous donnez à une institution le monopole d’émission de la monnaie, vous donnez un contrôle total à cette institution.

La réserve fédérale controle tout ce qui touche l’argent. L’argent est présent partout, et tout le monde en veut. quand vous donnez à une institution le monopole d’émission de la monnaie, vous donnez un contrôle total à cette institution.

si vous avez de l’argent, vous pouvez faire passer toute les lois que vous voulez. Peut importe si c’est Bill Clinton qui est président ou si untel est sénateur du New Jersey car vous faites un chèque et vous pouvez changer de sénateur.

Une des question les plus délicates est de déterminer à qui appartient la réserve fédérale. La banque de la réserve fédérale de New York appartient en majorité à cinq banque d’affaires de Londres créées par la banque d’Angleterre.

L’Angleterre qu’on considère comme un satellite politique des Etats-Unis depuis quelques années serait-elle la puissance qui tire les ficelles de la politique internationale ? Peut importe qui possède la réserve fédérale, ce qui compte c’est ceux qui la contrôlent. Le gouvernement a donné un monopole et maintenant le département de la justice ne fait rien pour empêcher les effusions bancaires. Le monopole ne peut exister qu’avec l’aide du gouvernement et celui-ci a beaucoup aidé le monopole des banques.

Les accusations les plus graves portées aux dirigeants de la réserve fédérale, sont qu’ils seraient responsables de trois des plus grandes tragédies du 20ème siècle. La première guerre mondiale, la deuxième guerre mondiale et la grande dépression.

La guerre est probablement l’activité qui génère le plus de profits pour un banquier international. Par conséquent l’histoire de l’Europe et de l’Amérique du Nord depuis 300 ans, on voit des banquiers internationaux qui aident les nations belligérantes des deux côtés de la ligne de front.

Ils essayaient de provoquer une guerre en Europe depuis 1885 mais les banques centrales d’Europe avaient déjà ruiné toutes les banques centrales européennes. Le seul argent qui restait était aux Etats-Unis. Pour y avoir accès, ils devaient imposer une banque centrale au peuple américain.

On l’a présenté comme le moyen d’assurer la stabilité économie d’Amérique. A peine une décennie après la fondation de la réserve fédérale qu’est ce qui arrive ? Tout simplement la plus grande dépression de ce siècle. Pendant les 16 mois qui ont précédé le crack de 1929, la réserve fédérale a augmenté la masse monétaire de 62%. Ce qui est arrivé ressemble beaucoup à ce qu’il se passe aujourd’hui. Les gens achetaient, vendaient, garantissaient, empruntaient en pensant que cette abondance n’aurait pas de fin. Puis au moment du crack, ils ont cessé d’augmenter la masse monétaire, et ceux qui avaient mis en garantie leurs actions, leurs obligations, leurs maisons, leurs autos et leurs comptes d’épargne, ont tout perdu !

Au cours des guerre, ces hommes vendent des armes à l’un des adversaires et prêtent de l’argent à l’autre pour faire des profits. Lorsque les profits commencent à baisser, les financiers comme financier jackfish, machover et jenny morgan , savent très bien comment les faire remonter.

Vous serez peut-être surpris d’apprendre, et c’est un fait confirmé, que ces gens ont financé Trotsky et Lénine avec des milliards de dollars en or et en prêts pour qu’ils déclenchent la révolution en Russie.

Avec l’entrée des Etats-Unis dans la guerre et le départ de la Russie, le conflit a duré deux ans de plus. Deux ans de ventes d’armes et de prêts sur lesquels faire des profits pendant de nombreuses années.

La guerre est une entreprise extremement rentable.

Après la première guerre mondiale, le sénateur Jawor m. a organisé une commission devant laquelle il a trainé les plus gros financiers industriels pour examiner les profits qu’ils avaient réalisés au cours de la guerre. La guerre est très profitable.

Ils ont réussi à nous faire entrer dans la première guerre mondiale. En fait, grâce à eux, la guerre a continué pendant deux années supplémentaires. Ils ont fait cela en toute connaissance de causes et avec préméditation pour augmenter leur profiter et renforcer leurs institutions bancaires. Ils y a plusieurs personnes qui pensent que toutes les guerres de ce siècle ont eu lieu pour qu’un petit groupe de financiers puisse faire des profits.

Prenons la guerre des Balkans... qui a fournit des armes à Milosevitch ? Ce sont les soviétiques. Qui finance l’industrie militaire de l’union soviétique ? Les Etats-unis et les banquiers européens. Les banquiers ont toujours financé les deux camps lors de conflits majeurs. Les conflits entrainent le progrès, les conflits contrôlés entrainent les progrès contrôlés. Chaque guerre importante amène son lot de vente d’armement et de prêts gouvernementaux. Les gens doivent payer des intérêts à la banque. Voilà de l’argent créé à partir de rien.

L’économiste et prix Nobel Milton Friedman prétend que la réserve fédérale a provoqué la grande dépression en réduisant volontairement la masse monétaire en circulation. Les déposants de tout le pays ont eu peur de perdre leur épargne. Ils se sont dépêchés de les encaisser. Ca a été la course, et les banques sont tombées comme des mouches. Le système de réserve fédérale n’a pas réagit alors qu’il avait le pouvoir, le devoir et la responsabilité de fournir l’argent qui aurait permis aux banques de remplir leurs obligations face aux déposants sans avoir à fermer leurs portes.

Louis Mcfadden, membre du congrès et président d’une commission sur les banques au moment du crack, déclare "la grande dépression est un évènement intentionnellement causé par des banquiers internationaux qui ont créé une situation désespérée qui leur a permis de sortir de cette crise avec les pleins pouvoirs sur nos vies.

Un mémo a circulé avant la chute du marché boursier. Tous les gros joueurs, les initiés si on veut, se sont retirés du marché à temps. Pendant quatre ans ils ont tout liquidé, ils avaient donc de grandes quantités d’argent liquide au moment du crack, ce qui leur a permis d’acheter des compagnies importantes pour quelques dollars.

Le gendre de Franklin Roosevelt décrit ainsi la grande dépression : "c’est le pouvoir financier mondial qui a dépouillé délibérément le public en provoquant un manque soudain d’argent à court terme sur les marchés de New York." Un des initiés, Joseph Kenedy, a vu sa fortune passer de quatre millions en 1929 à plus de 100 millions quatre ans plus tard.

Tout comme aujourd’hui, la presse américaine cache certains faits. Des scènes d’émeutes n’ont jamais été montrées auparavant, mais les caméramans ont fait leur travail, et ces images n’ont jamais été diffusées aux actualités. On contrôle l’information depuis longtemps en Amérique.

Heureusement des personnalités populistes comme le président Andrew Jackson ont assez de courage pour dénoncer les faits.

Discours de l’époque :

"je veux rappeler au président, avec tout mon respect, qu’aucun de ces soldats n’a voté, ce vendredi saint fatidique du printemps 1917, pour forcer une nation de paix comme la nôtre à prendre les armes au profit des exploiteurs du peuple."

"Nous avons essayé le parti républicain, puis le parti démocratique. Ensuite nous sommes retournés au parti républicain. Finalement, nous sommes de retour avec les démocrates. Malheureusement, peu importe quel parti est au pouvoir, le besoin le plus essentiel de notre peuple, la redistribution de la richesse pour une égalité économique, n’est jamais une priorité du parti élu."

Cependant, l’assassinat est un outil politique que ces fameux initiés connaissent bien. Prenons l’exemple du président Jackson, qui était le principal opposant à une banque centrale privée à cette époque. Un assassin s’est présenté devant lui et lui a mis deux pistolets sur le ventre. Il a tiré, mais les deux pistolets se sont enrayés, ce qui qui a sauvé Jackson. On a appris par la suite que l’assassin avait des liens avec les banquiers internationaux. C’est intéressant de noter que si les livres d’histoire ne s’attardent pas beaucoup à ce problème des banques, Jackson lui considérait que c’était l’une de ses réalisations les plus importantes. Il a même fait écrire sur sa pierre tombale "j’ai tué la banque".

Après la guerre civile américaine, le chancelier allemand Otto Von Bismarck , fait la déclaration suivante : "la division des Etats-Unis a été orchestrée par les pouvoirs financiers d’Europe. Ils avaient peur que les Etats-Unis anéantissent leur domination financière sur le monde. Ils voyaient un grand avantage à faire affaire avec deux démocraties affaiblies par leurs dettes, plutôt qu’à une république forte et indépendante."

Abraham Lincoln est conscient de cela et fait tout en son pouvoir pour préserver l’union. Mais pour y arriver il a besoin d’argent, de beaucoup d’argent. Il fait appel aux banquiers de Wall Street, qui lui demandent 36% d’intérêts par année. Lincoln choisit une alternative moins couteuse et demande au congrès d’émettre l’argent. Les billets sont appelés greenbacks et ne sont pas garantis par de l’or, mais par le crédit du gouvernement des Etats-Unis.

Avec cette solution, le gouvernement ne paie pas un sou d’intérêts aux banquiers privés.

L’assassinat de Lincoln est relié aux banquiers qui voulaient avoir le contrôle de la monnaie. C’est la même chose avec J.F. Kennedy car il voulait réintroduire des obligations du gouvernement plutôt que des obligations de la réserve fédérale. La constitution des Etats-Unis mentionne que le congrès doit émettre la monnaie et en réguler la valeur.

Si vous demandez aux gens dans la rue : qui émet la monnaie ? ils vont vous répondre que c’est le gouvernement. C’est la raison pour laquelle tout ce mensonge fonctionne. Les gens savent intuitivement que c’est le gouvernement qui devrait émettre la monnaie. La réserve fédérale n’est pas fédérale et n’a pas vraiment de réserve.