Finance : validation

Dans le domaine de la finance, la validation peut se définir comme étant l’aval donné par une personne pour que soit effectuée une opération donnée.

Dans ce cadre, l’on notera ainsi que ladite opération ne peut donc se réaliser sans que soit donnée la validation. En d’autres termes, c’est cette dernière qui confère à l’acte toute sa portée et toute son importance. Parallèlement à cela, il est utile de préciser que la validation ne peut être donnée que par la personne compétente pour le faire.

Qu’est-ce que la validation ?

Dans le domaine de la finance, la validation peut se définir comme étant l’aval donné par une personne pour que soit effectuée une opération donnée.

Dans ce cadre, l’on notera ainsi que ladite opération ne peut donc se réaliser sans que soit donnée la validation. En d’autres termes, c’est cette dernière qui confère à l’acte toute sa portée et toute son importance. Parallèlement à cela, il est utile de préciser que la validation ne peut être donnée que par la personne compétente pour le faire.

Tous ne peuvent, en effet, se prévaloir de pouvoir valider un acte : l’accord donnée pour effectuer une opération doit émaner de la personne désignée à cet effet. L’on notera, dans ce cadre, que ladite personne n’est tenue de valider que si elle juge l’opération bénéfique pour la personne (physique ou morale) pour laquelle elle travaille. Il en découle ainsi que la validation requiert aussi de solides compétences de la part de l’individu dont elle émane. Ce, car en se présentant comme l’aval pour la suite des opérations, elle produit inévitablement des conséquences.

Le " valideur " doit ainsi prendre de déterminer les risques présentés par une opération donnée et ne pas donner sa validation s’il estime que les conséquences peuvent être fâcheuses pour la personne pour le compte de qui il travaille.

Les intérêts de la validation

Soumettre une ou plusieurs opérations d’un processus à la validation permet d’exercer un contrôle, d’une part, sur lesdites opérations et, d’autre part, sur la qualité du travail de la personne chargée des opérations.

L’exigence d’une validation offre ainsi la possibilité de ne pas exposer l’établissement ou la personne à des risques qui peuvent être évités ou encore aux effets désastreux de l’incompétence d’une personne. Parallèlement à cela, elle permet aussi de limiter les pouvoirs exercés par une personne au sein d’une organisation ou encore dans le cadre d’un accord.

La validation pourrait aussi se définir comme un " second regard ". Il en résulte alors qu’elle peut grandement contribuer à mettre en exergue certaines failles qui n’ont pas été décelées : le " valideur " assume, dans ce cas, une mission de suivi.

Outre cela, la validation peut aussi se présenter comme la matérialisation d’une l’autorisation d’enclencher un processus. Dans ce cadre, l’on notera que toute opération soumise à validation et exécutée sans cet aval pourrait être annulée. Ce qui corrobore encore plus la fonction de contrôle de la validation.