Bourse : pas de krach des marchés en 2012

Même si la zone euro se trouve dans la tourmente et traverse une très grave crise, le ministre allemand des Finances se veut être confiant. Il a affirmé, lors d’une interview accordée dernièrement à la presse, que le contexte peut être maîtrisé. Il ne prévoit aucun krach des marchés pour l’année 2012.

Une période tumultueuse

En raison de la crise de la dette souveraine qui frappe la plupart des pays membres de la zone euro, cette entité traverse une période très tumultueuse. La chancelière allemande a même révélé au mois de novembre dernier que l’Europe vit les moments les plus difficiles qu’il a connu depuis 1945. Néanmoins, le grand argentier allemand pense qu’il n’y a aucune raison de paniquer, la conjoncture pouvant être parfaitement maîtrisée.

Chaque pays intégrant l’Union européenne fait actuellement preuve d’une ferme détermination pour assurer la stabilité de la situation. Les experts européens ne cessent de chercher des solutions à la crise de la dette souveraine qui secoue la zone euro. Les marchés pourraient continuer à fluctuer en dents de scie et connaître quelques soubresauts. Les opérateurs financiers devraient encore s’attendre à quelques surprises en Bourse. Les gouvernements des pays de la zone euro sont aptes à gérer la situation.

Un regain de confiance des investisseurs

Le ministre allemand des Finances est persuadé que les investisseurs auront de nouveau confiance en la zone monétaire européenne. En attendant que la mauvaise conjoncture soit totalement maîtrisée, elle conseille à toutes les entités qui gravitent autour de la Bourse de garder leur sang-froid. Il a tenu à rappeler que l’Europe demeure un des leaders économiques mondiaux. Elle continue ainsi d’attirer les investisseurs qui souhaitent placer leur argent dans des valeurs sûres susceptibles de leur assurer une bonne rentabilité.

Cette personnalité tient à rassurer l’opinion. Il n’y aura pas de krach des marchés boursiers en 2012. Notons que ce phénomène se traduit par une baisse massive des valeurs boursières sur une très courte durée, généralement en une seule séance. Il va de soi qu’une telle conjoncture perturberait gravement les places financières de la planète et l’économie mondiale ne manquera pas d’en pâtir, comme en octobre 1929. Heureusement que cette hypothèse est à écarter, si l’on en croit les prévisions du grand argentier allemand.